Résultats de recherche pour : Quatre

500 – QUATRE, UN JOUR

ISBN : 978-2-36336-525-5
PAGES : 100
FORMAT : 130×200
PARUTION : 05/2022
COLLECTION : Miniatures
PRIX : 10,00 €


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QUATRIÈME DE COUVERTURE…Quatre, un jour !
Et pourquoi pas Quatres, un jour avec une étonnante et inhabituelle orthographe pour bien marquer les pluriels ?
Quatre, le souffle des quatre vents et le temps des quatre saisons.
Quatre énergies, quatre expériences et quatre plumes réunies autour de poèmes brefs, composés dans l’esprit des haïkus japonais qui montrent les scènes prises sur le vif d’un quotidien revu sous l’angle de l’observateur attentif avec poésie, humour, gravité parfois.
Le livre d’un jour puissance quatre à savourer sans modération !

550 – MÉDITERRANÉE Ô NOTRE TOMBEAU

ISBN : 978-2-36336-570-5
PAGES : 70
FORMAT : 130×200
PARUTION : 06/2023
COLLECTION : Théâtre
PRIX : 9 €


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QUATRIÈME DE COUVERTURE…

Quatre réfugiés.e.s, deux hommes et deux femmes, rescapé.e.s en pleine nuit d’un naufrage au large de la Grèce racontent leur périple, la guerre en Syrie, les camps grecs, leur longue marche vers l’Europe rêvée… Il y a aussi un médecin légiste humaniste qui reçoit les corps et tente de leur donner une identité. Le texte de MCN est la transcription des témoignages qu’elle enregistra en Grèce de celles et ceux qui lui ont fait confiance. La pièce n’est pas une fiction, mais un documentaire qui laisse à réfléchir sur notre époque souvent impitoyable. Les images qui sont projetées durant le spectacle sont les photographies prises sur place par l’auteure. La musique et les sons qui accompagnent le récit sont d’Eric La Casa.

 

PAGE DE L’AUTEURE…

 

534 – TRO 3

ISBN : 978-2-36336-555-2
PAGES : 216
FORMAT : 130 x 200
PARUTION : 02/2023
COLLECTION : Variations nomades
PRIX : 25,00 €


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RÉSUMÉ
Après TRO et TRO2, qui racontent mes aventures à vélo, seul ou en compagnie d’Alain (pour l’aller à Tallinn), soit 18 000 kilomètres en six voyages entre 2010 et 2019, voici TRO3, un périple au centre de l’Europe.
TRO3, voyage au centre de l’Europe, est un recueil différent des précédents. Il raconte, cette fois, un périple complet à vélo, bouclé de Colmar à Colmar en quatre semaines à cheval sur mai et juin 2022, par Regensburg, Prague, et Cracovie pour l’aller, et, pour le retour, par Budapest, Zagreb, Ljubljana et Innsbruck, avec Alain. Je l’ai illustré de ma main par cinquante dessins, aquarellés pour certains, rappelant les moments, les lieux, les souvenirs et les émotions qui l’ont souligné et qui m’ont particulièrement marqué lors de ce parcours : je le montre aussi et ainsi à ma façon pour éclairer le récit.
J’ai également voulu le compléter par un florilège des souvenirs de mes autres voyages qui, eux, ont fortement imprégné ma mémoire. J’ai donc fait appel à celle-ci pour les réécrire sous une forme entièrement nouvelle, ayant profité des moments de con- finement que nous avons tous connus. Ils sont souvent joyeux, parfois drôles, insolites et étonnants. En fait, ils racontent simplement ce qui construit une aventure, lui donne du piment et l’envie d’y retourner, malgré les fatigues, l’ennui ou la routine qui, alors, disparaissent ou s’oublient immédiatement.
Cela valait le coup d’oser partir, rien que pour ça !

 

L’AUTEUR
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482 – UN DÉSORDRE PLUS FORT QUE LA MORT

ISBN : 978-2-36336-504-0
PAGES : 206
FORMAT : 130 x 200
PARUTION : 10/2021
COLLECTION : Marges
PRIX : 15,00 €


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QUATRIÈME DE COUVERTURE
« Je suis au chevet de ma mère. J’attends sa mort. Je ne l’appréhende pas, non, je l’attends. Je l’attends avec impatience, avec rage ! Voilà des heures qu’elle gît là, livide, les yeux clos. Dort-elle ? Est-elle morte ? Fait-elle semblant ? Elle en serait bien capable. À vrai dire, je n’en sais rien. Ma mère a toujours été difficile à cerner.
À onze heures du matin, comme chaque jour depuis mon arrivée, j’ai tiré les rideaux. Moins de lumière, geint-elle. Toujours à se plaindre. Jusqu’à son dernier souffle. Certes, il peut s’agir d’une gêne. Sans doute l’éclat du soleil lui brûle-t-il les yeux, chose logique à l’article de la mort, d’autant que depuis ces dernières années elle s’est mise à collectionner les lunettes de soleil, énormes, bombées devant, larges sur les côtés, qui lui donnent l’air d’une mouche ou d’un motocycliste.
À quelle profondeur a-t-elle plongé ? Au fin fond des abysses, ou va-t-elle remonter brusquement à la surface comme le cadavre de Paul Meurisse dans la baignoire des Diaboliques, ses yeux écarquillés, pour me terroriser ?
J’ai sorti mon petit miroir, je l’ai approché de ses lèvres. Un, deux, trois… Rien…
À quatre, il s’est embué. »

L’AUTEUR
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CRITIQUE DU ROMAN

 

ALAIN HOAREAU

Hoareau (Alain)

Son (ses) livre(s) publiés chez JFE :

 

 

 

 

 

 

 

Quelques mots sur l’auteur…
Né en 1961, Alain Hoareau est Professeur de guitare classique au Conservatoire à Rayonnement Départemental des Landes.
Il publie cinq ouvrages de poésie entre 2016 et 2019, une trilogie poétique : Quatre saisons plus une, Lettre en vacance, Ajour, puis Préludes et fugues et Le jour opéra.
Il intervient régulièrement en tant que conférencier aux cycles Fil de mémoireS© sur les thèmes de l’altérité, l’impitoyable duo de la muse et du poète, le destin et l’imprévisible.
Alain Hoareau s’appuie sur son expérience de musicien pour démontrer les liens qui existent entre la musique et la littérature. Toujours à partir de cette expérience, il développe une réflexion auprès des entreprises pour évoquer des thématiques telles que : la difficulté du soliste, la fausse note et l’échec, la relation à l’autre, l’écoute, le rythme.
Avec Le monologue du voisin Kafka, il signe son sixième ouvrage.

Autoportrait…
(à venir)

434 – PACIFIC CREST TRAIL

ISBN : 978-2-36336-453-1
PAGES : 162
FORMAT : 130×200
PARUTION : 09/2020
COLLECTION : walking spirit
PRIX : 18,00 €

 

 

RÉSUMÉ
« L’Européen a du mal à imaginer la dimension supplémentaire que la durée – cinq mois pour 4 000 km – apporte de radicalement différent à une telle expérience. Le but devient bien trop lointain pour y penser : on ne va plus d’un point A à un point B, on marche, jour après jour après jour ; le bivouac quotidien apprend à vivre sur le chemin, par terre, en pleine nature ; avec un ravitaillement tous les quatre jours, la simplicité, la frugalité, la monotonie alimentaire s’installent. Entre hypnotisme et émerveillement, la marche s’impose comme une drogue, pour elle-même. Impossible de se dire « je verrai ça à l’arrivée », les problèmes se règlent là, tout de suite, sur le chemin. L’immensité de l’espace américain place le marcheur au centre d’un vide qu’il doit peupler : ça, je ne l’avais pas prévu. (…) »

 

L’AUTEUR
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JEAN LUC WERPIN

WERPIN (JL)

Son (ses) livre(s) publiés chez JFE :

 

 

 

 

 

 

Quelques mots sur l’auteur…
Jean Luc Werpin vit à Bruxelles.
Venu tardivement à l’écriture, il a été séduit par l’intense brièveté du haïku. Ses collaborations suivies avec ses correspondants japonais l’ont incité à franchir le pas de la publication, d’abord dans des revues japonaises, avant de partir à la rencontre du monde francophone.
Les textes proposés ici se situent au confluent de diverses inspirations aussi éloignées l’une de l’autre que la tradition littéraire japonaise selon Bashô et l’environnement culturel de l’auteur.

Autoportrait…
(à venir)

405 – CHRONIQUES D’UNE RÉSILIENCE

ISBN : 978-2-36336-423-4
PAGES : 312
FORMAT : 130 x 200
PARUTION : 04/2020
COLLECTION : Ambre
PRIX : 17,00 €


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QUATRIÈME DE COUVERTURE :

(…) À quatre heures, nous sommes à nouveau toutes deux sur la terrasse. La nuit est chaude. Des voitures passent ; des gens les conduisent ; des vies normales continuent de filer.
Et le sanglot redouté franchit enfin ma gorge, que je laisse s’envoler vers le ciel bleu marine, la main d’Annie dans la mienne – ses larmes à elle retenues, qu’elle garde pour plus tard.
J’ai mal au cœur, au sens propre – un étau m’enserre. J’étouffe.
Il faut pourtant attendre. Encore attendre.
Le matin se lève enfin, et j’appelle l’hôpital :
« La nuit s’est bien passée ; le pire est écarté. »
Nous tombons dans les bras l’une de l’autre, sous le regard ensommeillé de ma plus petite qui vient de se lever.
La première nuit s’est achevée, et elle ne t’a pas arraché à nous. Il y aura un avenir. À nous de le construire. (…)

Un homme, une femme, une famille, un accident.
Un coma prolongé et la vie qui va s’arrêter.
Emmanuelle Cart-Tanneur, engagée dans un processus de résilience salvatrice, écrit, décrit, pour partager l’inimaginable, l’irréparable.

L’AUTEUR
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EXTRAIT
405/Lire un extrait

… et une longue interview-vérité de l’auteure, déculpabilisante pour celles et ceux qui se retrouvent un jour aidant(e)s suite aux aléas de la vie  :
https://www.vivrefm.com/posts/2020/11/emmanuelle-cart-tanneur-aidante-et-moi-qui-va-s-occuper-de-moi

380 – UNE MÉLANCOLIE CUBAINE

ISBN : 978-2-36336-393-0
PAGES : 72
FORMAT : 210×210
PARUTION : 01/2020
COLLECTION : Hors collections
PRIX : 20,00 €

 

 

 

 


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EXTRAIT

De Cuba, j’ai cela : des petits poèmes photographiques qui disent la vie, la dramatique beauté de la vie et la mélancolie. J’aurais pu tout aussi bien écrire la fantaisie, l’exubérance, la tristesse, la nostalgie, la frivolité, la profondeur ou l’ivresse. C’est comme cela que j’avance dans le noir, par fulgurances. Ma compréhension du réel passe par la photographie. J’attends d’une image qu’elle contienne assez d’énergie pour emmener loin, pour sauver ce qui peut l’être et dire ce qu’au premier abord on ne voit pas. De l’histoire très riche de Cuba, on peut faire de multiples lectures. Car tout est encore là dans une troublante épaisseur. Les paradis perdus, l’envie de vivre, la soif de modernité, l’appel du large, le désespoir et la nostalgie. Tout est là, confusément. Le poète et romancier Pedro Juan Gutierrez vit à La Havane. De notre rencontre sur sa petite terrasse qui domine le Malecon est né le désir de mêler nos voix et nos regards. Il m’a offert quatre poèmes, son univers. Ces textes ont leur vie propre au milieu des images. Ils habitent le livre, librement. N’y cherchez rien qu’un compagnonnage et une fraternité poétique.
(Michel Durigneux)

 

 

Miniatures

Comme son nom l’indique, cette collection regroupe des textes très courts (3 lignes maximum) qui sont :
– soit des haïkus au sens strict du terme (et donc avec les règles qui les régissent),
– soit des textes qui ressemblent à des haïkus, sans pour autant respecter le nombre de pieds qu’impose le genre au sens étroit des puristes,
– soit des phrases poétiques, pensées, aphorismes originaux et de qualité (notion très subjective, je le concède) avec ou sans thème précis.