Son (ses) livre(s) publiés chez JFE :
Quelques mots sur l’auteur…
L’écriture s’effiloche dans des poésies, nouvelles, théâtre et autres indisciplines littéraires.
Le temps d’écrire est le temps de chaque jour : un indéfinissable qui s’échappe de soi et qui se perd dans les rencontres anonymes de la vie.
Autoportrait…
Bernard Vassel est né le 2 septembre 1948 à Paris XXe.
Il est arrivé à Jonzac (Charente-Maritime) en 1973 pour raisons professionnelles.
Parallèlement à son travail, il écrit des textes dans lesquels se côtoient poésies, romans et pièces de théâtre.
Rencontres d’écriture et influence de lecture avec Duras, Ionesco, Henry James…
C’est à Jonzac que la collision avec le théâtre amateur s’est transformée dans le plaisir du jeu et de la mise en scène.
Plus tard… quelques années plus loin… Bernard se retrouve à Saint-Palais-sur-mer (à côté de Royan et de l’Atlantique).
Au bord de cet océan on peut voir des mèches de lumière lécher des voûtes d’eau sous des éclairs en feu.
Membre de la Société des Poètes français et poètes sans frontières.
Adhérent de l’association Café littéraire de Royan.
Participe aux rendez-vous poétiques de Montmartre dans le 18e arrondissement de Paris.
Adhérent à l’association Les Écrivains de la côte dont le siège est à La Rochelle.
Lire Bernard Vassel, c’est accepter de se perdre dans une partition où les mots se convertissent en fugue légère, en désarroi, crainte, peur et arc en ciel. C’est pousser les portes de l’absurde derrière lesquelles il y a, de temps à autre, quelqu’un qui vous surveille. C’est se confronter à des parfums qui sortent de la citadelle de l’enfance et qui partent sur des itinéraires désordonnés faits de tourments et de fascination. Tendresse et vulgarité de la vie se conjuguent dans des phrases qui se heurtent aux frémissements d’une émotion vagabonde. Les regards portés sur hier magnifient l’écriture. Elle est un outrage qui peut devenir offrande, elle est un refus qui s’approche des rêves de l’étrangeté.
Dans le livre, Il faut faire quelque chose de sa vie autrement elle va mourir, on découvre des textes qui s’abandonnent aux vertiges d’une agitation incertaine, hésitante. Les mots se posent, s’embellissent et disparaissent dans une séduction inattendue.