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CIPALA

CIPALA est l’acronyme de Centre Incubateur de Production Alternative Littéraire et Artistique.
Il propose des projets littéraires et artistiques pour tous où l’auteur (ou l’artiste) confirmé côtoie le débutant.
Une diversité s’intégrant dans une dimension alternative clairement affichée et assumée.

BRIGITTE GUILHOT

GUILHOT (Brigitte)

Son (ses) livre(s) publiés chez JFE :

 

 

 

 

 

 

 

Quelques mots sur l’auteur…
Brigitte Guilhot est écrivain, poète et biographe. Originaire de Gascogne, elle a vécu à Toulouse, en Touraine, à Lille, à Paris et en Ardèche et a terminé l’écriture de ce recueil en Bretagne, « là où finit la Terre ».
Elle est l’auteur de L’autre chemin, récit d’une marche aux éd. Cheminements, Soluble, roman paru à L’Ours Blanc, La Peau sur les mots correspondance de prison avec Hafed Benotman suivi de J’ailleurs édité chez Ska, de novella et nouvelles parues chez Ska, ainsi que dans des recueils collectifs et des revues littéraires.

Autoportrait…

 

 

 

 

 

 

 

 

Fille d’une Louve et du Vent, Brigitte Guilhot a vu la nuit au milieu du siècle dernier.
Toute petite déjà elle planta ses griffes et sa truffe dans l’humus de l’Écriture et
mordit à pleines dents dans la chair des Mots dont elle arrachait la substantifique
moelle pour la grande satisfaction de ses profs de français qui s’emmerdaient
beaucoup par ailleurs en corrigeant leurs copies – ce qui ne l’empêcha pas de se
faire virer de partout. Auteur d’un roman haletant, Soluble, paru en juillet 2014 à
L’Ours blanc (qui se trouve être son animal-totem), de romans et nouvelles plus ou
moins noirs ou chauds publiés ou non, d’une correspondance de prison avec Hafed
Benotman parue chez Miss Ska, et d’autres billevesées littéraires, elle promène
chaque nuit ses yeux rouges dans la cité endormie en chasse d’inspiration et fait ses
courses au Franprix le jour.

L’écriture de La prophétie des mouches est née de trois impulsions : un travail sur
les photos de Dorothea Lange proposé par Jacques Flament, une empathie
impuissante pour le drame de l’immigration auquel elle n’a rien d’autre à offrir que
son écriture, et ses choix de vie qui la mettent souvent en déséquilibre et dans la
posture de « l’étrangère quelque part », la rapprochant un peu (surtout au cœur de la
nuit) des émotions universelles ressenties par ces Humains de la Terre.

326 – CARNET DE VOYAGE EN PSYCHADÉLIE

ISBN : 978-2-36336-345-9
PAGES : 80
FORMAT : 210×210
PARUTION : 03/2018
COLLECTION : Images & mots
PRIX : 20 €

 

 

 

 


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RÉSUMÉ
Pendant ses longues marches en solitaire dans le Midi avec Johnny-Boy, son bouledogue français, Claude-Alain Planchon porte toujours sur lui un petit carnet de cuir rouge offert par sa nièce Sandrine. Il a pris l’habitude d’y noter tout ce qui lui passait par la tête. L’inspiration vient en marchant et la magie opère… la faculté de regarder un caillou autrement. Avec un peu d’imagination, on devine dans la diversité de ses pensées des richesses de la nature insoupçonnées. En parcourant l’Esterel, le silence et la beauté des lieux l’émerveillent chaque fois davantage. Autour de lui, pépites et diamants. Le long des chemins, il engrange des trésors. Ça lui vient comme ça, comme les reflets d’une vie antérieure, les bornes du temps… des évidences qui lui inspirent des légendes. C’est un peu dingue, mais il n’y peut rien… Son carnet est plein… plus de place dans les marges. Claude-Alain a proposé à Jacques Flament de publier ses aphorismes dézingués en les illustrant par les œuvres d’Antoine Schaab, un artiste à l’âme sensible et à l’univers surréaliste. Il est le compagnon d’une de ses plus anciennes amies, la cinéaste Marlène Ionesco. Ils sont voisins aussi bien à Paris que dans le Midi. Ça crée des liens ! Claude-Alain Planchon admire de longue date ses sculptures et ses collages. Amateur d’art éclairé, il en possède un certain nombre dans ses collections. Celui qui manquait au trio, c’est le réalisateur Jorge Amat. Son talent de photographe et la fantaisie onirique avec laquelle il aborde la vie, confèrent à cet ouvrage les outils indispensables à l’illumination du lecteur.

L’AUTEUR
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313 – CHÂTEAU DE FABLES

ISBN : 978-2-36336-332-9
PAGES : 244
FORMAT : 130×200
PARUTION : 11/2017
COLLECTION : Ambre
PRIX : 18 €


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RÉSUMÉ

(…) Demain j’irai sur le port de Tinos. Et puis je reviendrai le lendemain et les jours suivants. De la terrasse, Kosta va me regarder les yeux mi-clos, avec son demi-sourire de marbre. Assis sur une caisse de n’importe quoi, je ferai semblant de regarder loin. J’aime certainement beaucoup plus les ports que la mer. Tout à l’heure, j’irai m’acheter du tabac pour ma vieille pipe retrouvée hier soir dans le coffret des lettres que j’ai brûlées pour allumer mon brasero.
C’est joli de fumer la pipe. Je veux dire : c’est un geste fidèle. Pas comme les maîtresses cigarettes rejetées quand elles s’éteignent. Oui, j’irai acheter du tabac chez Elias et voler quelques titres aux manchettes des journaux, en évitant de regarder les images d’Athènes.
J’oublierai d’acheter des allumettes, alors j’irai demander du feu à Kosta.
(Extrait de Tu reviendras d’Athènes).

Réunis dans ce Château de fables, contes, mémoires et quelques mystères : Les violons d’Amsterdam, L’extrême douceur de ce duvet d’amour, Cet artiste-là… et trente autres pour les plages de vos rêves d’amour.
Mon château du dedans m’emmène plus loin que l’Espagne. Je vous en ouvre la porte. Entrez s’il vous plaît. (Henri Aram Hairabedian)

L’AUTEUR
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299 – DROIT DANS LE MUR

ISBN : 978-2-36336-312-1
PAGES : 184
FORMAT : 140×200
PARUTION : 04/2017
COLLECTION : Hors collections
PRIX : 12 €


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RÉSUMÉ
Mais qu’est-ce qui m’a pris ! Au printemps 2012, j’ai eu l’irrépressible envie d’appeler quelques vieux amis musiciens et de leur proposer de monter un groupe, avec un répertoire original et des chansons en français. Comme si j’avais quinze ans. J’ai 51 ans ! Bon, en verlan… ça fait 15, non ? Moi, j’ai quinze ans depuis  longtemps. C’est comme ça. Et le pire ? Je suis entouré sur scène par d’autres mythomanes qui, eux aussi, sont globalement con-vaincus qu’ils ont quinze ans. On en a même fait un groupe, donc. Son nom ? Droit dans le mur ! Bien plus qu’un programme électoral, c’est le cri du cœur d’une bande d’arsouilles finalement plus lucides qu’on ne le pense. Qui savent que personne ne sortira d’ici vivant. Que nous courons tous dans la gueule du loup, droit dans le mur. Mais qui sont bien décidés à y aller quand même, pour la beauté du geste, en tentant d’appliquer la petite philosophie jadis chère à Pierre Desproges : « Vivons heureux en attendant la mort ! »
Cinq ans ont passé depuis l’acte de naissance de DDLM. Celui qui se prend toujours pour un chanteur a désormais pondu une centaine de textes. Les voici réunis dans ce livre. (NC)

L’AUTEUR
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294 – DEVIENS CE QUE TU ES

ISBN : 978-2-36336-307-7
PAGES : 80
FORMAT : 210×210
PARUTION : 04/2017
COLLECTION : Images & mots
PRIX : 20 €


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RÉSUMÉ
Il m’a dit : « Je vais changer de genre et je voudrais que tu suives ça, d’un point de vue artistique. Est-ce que ça t’intéresserait ? »
J’ai répondu « Oui » immédiatement, et « Texte ou photo ? ».
Il m’a rajouté : « Oh, comme tu veux ! »
On venait de terminer un projet de carnet de voyage avec ses étudiants. C’était une femme quand il me l’a proposé, qui allait devenir un homme. On n’a rien convenu à l’avance. « Comme tu veux ! » Ce fut le pacte entre nous. On s’est revu une fois, puis deux, puis régulièrement, chaque semaine ou tous les quinze jours, pendant plus d’un an.
Dès le départ j’ai dit, je ne noterai rien pendant nos rencontres, j’écrirai de mémoire. Au bout d’un mois, j’écrivais il, lui, sans plus m’en soucier. N’ayant jamais utilisé son prénom féminin, je l’ai tout de suite appelé par son prénom masculin. Petit à petit, j’ai commencé à prendre des photos pendant qu’il parlait. On ne savait pas où on allait, mais je savais parfaitement pourquoi j’étais là. Le sujet du changement de genre m’a beaucoup intéressé lorsque j’étais ado. Je n’en ai jamais parlé, à part à ma grand-mère, un été. Je n’en ai jamais parlé. Jusqu’à ce qu’il me fasse cette proposition.

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SARAH GINESTON

GINESTON (Sarah)

GINESTON (Sarah)

Son (ses) livre(s) publiés chez JFE :

écosse

 

 

 

 

 

 

Quelques mots sur l’auteur…
Née d’une mère écrivain et d’un père comédien, mon intérêt pour l’art débute tôt dans ma vie. Ma passion pour l’image me dirige naturellement vers des études de réalisation cinéma à Paris III la Sorbonne-Nouvelle. J’y apprends beaucoup sur l’Histoire de l’art, du cinéma, l’esthétique, mais c’est le cadrage, la composition et la lumière qui m’enthousiasment le plus.
Mon goût pour l’image et l’esthétique trouve sa concrétisation dans la photographie.
Je passe une année en Avignon pour parfaire ma connaissance de la photographie grâce à une formation professionnelle diplômante en partenariat avec l’ENSP (École Nationale Supérieure de la Photographie). Photographe indépendante, je débute par la photo de presse, essentiellement sport et portrait. Puis, je m’intéresse à la photo lifestyle des photos de famille fondées sur le naturel en opposition au portrait traditionnel en studio. Je réalise également des reportages pour la communication d’entreprises et d’hôtels. Apprivoiser la lumière, valoriser un lieu, réaliser un portrait, capturer des détails, une atmosphère particulière, voilà ce qui m’anime. Je vis et travaille à Paris. Aimant les voyages mon boîtier se tient toujours prêt. (SG)

Autoportrait…
(à venir)

SÉVERINE LENHARD

LENHARD (Séverine)

LENHARD (Séverine)

Son (ses) livre(s) publiés chez JFE :

enfancesensiblealalumiere

 

 

 

 

 

 

Quelques mots sur l’auteur…
Séverine Lenhard est née à Toulouse en 1975. Ses débuts en photographie, elle est incapable de s’en souvenir. Toute jeune, elle prenait l’appareil photo de sa mère pour aller chasser le cliché, collectionner les images. À l’adolescence, elle intègre un club photo et c’est là qu’elle apprend les bases, qu’elle connaît la joie du labo, la magie que la lumière dessine sur le papier photo. Elle continue donc de plus belle. Lycéenne, Séverine Lenhard court les concerts de la scène rock alternative, appareil autour du cou. 10 ans de photos de concerts, des cours aux Beaux-Arts en parallèle de ses études de géographie et d’histoire. La révolution du numérique, les contraintes du métier de professeur : l’appareil est un temps mis au placard, sortant peu malgré la passion jamais loin, toujours prête au réveil. Jusqu’à la naissance du premier enfant, du second très vite. La maman, comme les autres mamans émerveillée par chaque geste, par chaque regard, par chaque progrès de ses enfants, ne peut résister aux exigences du regard de la photographe. Séverine Lenhard entreprend de construire la mémoire d’une enfance, interrogeant inlassablement le quotidien de sa petite famille. Photographe boulimique d’images, elle est remarquée par le photographe Jock Sturges, elle rejoint l’équipe de la Galerie Vevais.

Autoportrait…
(à venir)

AP – 008 – GUILLOIS

guillois-couverture

Dimensions de l’ouvrage : 25 x 32 cm. Poids : ± 1 kg. Nombre de pages : 128.

ISBN : 978-2-36336-226-1
PAGES : 128
FORMAT : 320 x 250
PARUTION : 11/2015
COLLECTION : Arte Prima
PRIX : 60 €

Cet ouvrage a été tiré à 100 exemplaires numérotés de 1 à 100.


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Ce livre est ce que l’on appelle communément un « beau livre ». Chaque ouvrage possède une reliure cartonnée, matelassée et pelliculée mat anti-rayures. L’ouvrage est imprimé sur du papier Condat 170 gr. couché mat.
Chaque ouvrage est constitué de 128 pages grand format (24×31) avec des textes d’introduction sur le travail de l’artiste de Christian Schmitt et Guy Denis et une soixantaine de reproductions en couleur des œuvres de l’artiste.
Chaque ouvrage est envoyé en colis suivi dans un étui cartonné avec renfort mousse pour éviter les risques de détérioration dus au transport.

QUATRIÈME DE COUVERTURE
À l’œuvre de Tony Guillois on peut appliquer, sans prétention aucune, la même phrase que celle prononcée par Kafka sur Picasso : « Dans le miroir déformé de l’art, la réalité apparaît indéformée. »
La peinture ou la cendre qu’il projette sur la toile traduit en effet, le plus souvent, la manifestation de l’homme menacé. C’est pourquoi cet artiste bouscule constamment la forme en tordant les corps et monte ainsi de manière surprenante le son jusqu’au niveau du cri. Ce même cri qui retentit si fort pour devenir clameur et rejoindre ceux les plus fous et les plus admirables d’Antonin Artaud.
Ce faisant sa tendance naturelle reste encore le monde chaotique de la zone sombre. Cet attrait pour le crépusculaire qui est la matrice d’éléments irrationnels condamne l’être au monde au solipsisme car placé devant la mort.
En réalité son goût pour la grisaille et l’obscurité stimule sa création.
C’est toujours le mythe de la vision nocturne qui perdure et inspire les poètes et tous les créateurs comme pour Beckett : « L’obscurité que je m’étais toujours acharné à refouler est en réalité mon meilleur… indestructible association jusqu’au dernier soupir de la tempête et de la nuit avec la lumière de l’entendement. » (Christian Schmitt)

Ci-dessous, quelques exemples de reproductions composant cet ouvrage (cliquer sur l’image pour agrandir) :
GUILLOIS D GUILLOIS C GUILLOIS B GUILLOIS A

 

 

 

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CORINNE LEFORESTIER

Leforestier (Corinne)

LEFORESTIER (Corinne)

Son (ses) livre(s) publiés chez JFE :

corinneleforestiernatureenchemin

 

 

 

 

 

Quelques mots sur l’artiste…

Née en Normandie en 1962, peintre depuis l’enfance, graveur depuis plus de 20 ans, Corinne Leforestier partage aujourd’hui sa vie entre son atelier perché dans la montagne, des balades-méditation sur les sentiers, dans les ravins ou sous les arbres, et son métier d’ingénieur.
À la fin des années 80, elle suit les cours de dessin et de peinture de Christian Ferré et ceux de gravure de Maurice Maillard à la Maison des Arts d’Évreux. Elle participe au groupe de peintres Motion et partage des expériences collectives intenses d’où naîtront deux films mis en scène par Jean-Christophe Leforestier : de natura peintum et eau forte.
À Paris pour raison professionnelle, elle fréquente dans les années 90 les ateliers de beaux-arts de la ville de Paris (en gravure et dessin) pendant 12 ans.
C’est en arrivant dans les Alpes-de-Haute-Provence en 2002, inspirée par l’espace, le silence, qu’elle se découvre une affinité avec les peintres taoïstes chinois. Depuis une dizaine d’années, elle pratique aussi la calligraphie chinoise comme une ascèse quotidienne, suivant les enseignements de Maître Shi Bo. Elle co-crée également durant ces années plusieurs livres d’artistes en lien avec des poètes (Vahé Zartarian, Pierre Bonnet, François Szabo).
Elle expose régulièrement depuis les années 90.
Quelques peintres qui l’inspirent : Cézanne, Bonnard, Lapicques, Gauguin, Zao Wouki, Chu Teh Chun, Kimura, Tal Coat, De Stael, Matisse, Braque, Abboud, Nolde, Chu Ta, Shi Tao et tant d’autres…

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