BÉATRICE WILLAUME-COUTURIER

Willaume-Couturier (Béatrice)

WILLAUME-COUTURIER (Béatrice)

Son (ses) livre(s) publiés chez JFE :

 lamateur

 

 

 

 

 

Quelques mots sur l’auteur…
Messine d’origine, Béatrice Willaume-Couturier habite Gérardmer,  dans les Vosges.
D’abord enseignante dans le 1er degré, elle a exercé ensuite les fonctions de psychologue scolaire dans le Pays-Haut.
Depuis sa retraite en janvier 2010, elle consacre une grande part de son temps aux ateliers d’écriture et à la pratique du théâtre.

Autoportrait, mais rapidos !
– Je viens de ce pays chanté par Lavilliers : les Mains d’or et Fensch Vallée. Je suis de ce pays où les villes portent des noms d’anges, où la poussière orange, l’odeur de la cokerie, les convois en fusion et les sirènes des postes ont imprégné l’enfance, mais dès l’adolescence, les usines s’éteignaient, à petits feux cruels.
– Je suis quelqu’un d’enthousiaste, jusqu’à l’exubérance parfois, mais ça se calme avec les années !
– Mon principal défaut ? Excitée et volubile, mais ça se calme avec les années !
– Je suis très éclectique dans mes lectures et je lis énormément, depuis longtemps, alors il y en a vraiment des tonnes ! Quelques noms chez les Américains : Ford, Harrison, Banks, Eugénides, King, Haruf, Boyden… Des polars : Lehanne, Connely, Harvey, Rankin et les polars nordiques !
 Les derniers livres que j’ai lu : Nous sommes l’eau, de Wally Lamb ; Anima, de Wajdi Mouawad ; Un ange à ma table, de Janet Frame.
– Pareil pour les chanteurs. Découverts à l’adolescence : Corringe, Abrial, Ferrat, Ferré, Brassens, Forestier, Moustaki, Reggiani, Simon, Gainsbourg et LAVILLIERS, qui donna ses premiers concerts dans les MJC de nos vallées ! J’en oublie évidemment. J’ai eu ma période folk et je jouais de la guitare en chantant Malicorne… Je suis fan de reggae et ce tempo me va bien ; j’écoute aussi Tryo et La Rue Kétanou… Suis pas très English pop-rock
– Ma devise ? Carpe diem, mais pas trop ! J’aime prévoir, projeter, anticiper les plaisirs comme des stages de théâtre, des spectacles, des films, des lectures, des voyages…
– J’ai renoncé à ressembler à Jane Birkin.
– Plaisirs favoris ? Randonner dans la montagne avec mon chien, buller au soleil avec un livre dans un transat, me baigner dans une mer chaude, savourer un blanc bien frais avec des gambas grillés… Frites, bière, saucisses me va aussi.
– J’écris à mon bureau et aux divers ateliers d’écriture que je fréquente. Je ne suis pas assez disciplinée pour devenir une écrivaine alors j’amasse pas mal d’écrits vains. Dès le collège, j’inventais des histoires, celles que je ne vivais pas encore, que je rêvais d’avoir. À cette époque, j’écrivais le soir en faisant semblant de faire mes devoirs. J’ai une valise entière remplie de tous les journaux intimes, nouvelles, poèmes, romans, tous mes écrits et tous mes cris. L’écriture est mon cri que mon éducation tait mais mes fantômes imposent. Si l’écriture s’est tue durant mes années professionnelles et maternelles, la retraite me permet de renouer les fils des mots, de tisser à nouveau.
– Sur ma tombe : « Elle a beaucoup aimé ».

Les commentaires sont fermés.