Diableries

Nombre de diableries irrésistibles sont présentes dans le panthéon des lettres anciennes et modernes ; Goethe, Balzac, Stevenson, pour ne citer que les plus célèbres, ont marqué leur œuvre d’appropriations diaboliques desquelles se dégagent un charme nimbé d’étrange et de mystère, propre à séduire les chasseurs d’émotions fortes.
Notre propos, avec cette collection, n’est évidemment pas de faire l’apologie du Diable ou de mettre en garde crédules et dévots contre d’insondables et hypothétiques méfaits, mais plutôt de constater par le texte à quel point le mythe symbolique du mal peut engendrer une création prolifique qu’elle soit effrayante, sanglante, romantique ou, pourquoi pas, amoureuse ou irrésistible de drôlerie.
L’occasion également, de faire un tour du côté des chefs-d’œuvre du roman gothique, dérivés effrayants de la pure “diablerie” qui connurent leur première heure de gloire au XVIIIe siècle. Même si le Malin n’y est souvent là présenté que de façon latente, l’esprit d’épouvante est bien présent pour le plus grand plaisir des amateurs du genre.

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