Son (ses) livre(s) publiés chez JFE :
Quelques mots sur l’auteur…
Banquier de profession dans des banques petites et grandes, françaises, américaines ou anglaises, Pascal Ordonneau y a exercé l’ensemble des métiers et des responsabilités. Auteur de plusieurs ouvrages d’économie, il est chroniqueur et polémiste dans les Echos.fr, Atlantico et Kritiks. Blogueur, il anime un site, pascalordonneau.com, consacré à l’économie, la critique artistique et la création, nouvelles, coups de coeur, humeurs.
Autoportrait…
Goût du paradoxe qui le conduit à faire s’entrechoquer les idées, passion pour l’art qui se traduit en multiples chroniques sur le site qu’il anime et sur plusieurs sites amis, imagination au pouvoir, quand il crée Moi-Président un drôle de personnage « sans aucun rapport avec la réalité » et quand il invente un sage Chinois dont il recueille les pensées bizarres et les aphorismes révolutionnaires, Pascal Ordonneau est un observateur peu complaisant des habitudes de pensée, des conventions sociales et des jeux de pouvoirs.
Serait-il un écrivain dans l’âme ? S’il faut en croire le déroulement des quarante dernières années de son existence, il serait tout aussi pertinent de le présenter comme : « Banquier dans l’âme ! » Serait-ce la face obscure de l’écrivain ? Il a été banquier sous différentes bannières, Françaises, Américaines, Anglaises… Banquier d’affaires sans cesse en contact avec les entreprises. Entrepreneur lui-même en tant que patron de banques petites ou grandes qu’il a eu à créer, diriger et réformer.
D’une vie professionnelle au cours de laquelle il a cultivé le plaisir d’écrire, d’enseigner et d’imaginer, il a tiré de multiples écrits sur l’économie, ses excès et ses ridicules qui seront publiés dans les Échos et ailleurs. D’une expérience où le cocasse rencontre le tragique, où les jeux du pouvoir ne se déploient pas pour rire, où les chausse-trappes n’épargnent pas les esprits loyaux, intègres et fidèles, il a tiré romans, nouvelles, utopies et caractères. Multipliant les nouvelles et les fictions dans différents sites et sur le sien, il s’est livré à un travail d’ironie critique sous la forme d’un énorme bouquin La désillusion, abécédaire décalé et critique de la banque et de la finance, puis il a publié un petit livre de voyage Au pays de l’eau et des Dieux , 7 voyages symboliques .
Son dernier ouvrage, Promotion, à l’opposé des mondes merveilleux et lumineux de l’Eau et des Dieux, évoque l’univers noir des ambitions déçues et des fidélités trahies, quand un homme s’isole, s’enferme et perdant tous repères, disparaît aux yeux de tous.